Un long périple

Hier, journée au combien faste ! Des ennemis sont tombés au nom de notre famille, au nom de La Communauté. Que d’émotion ! Je m’explique.

Tout a commencé alors que je m’afférais à découvrir le Marécage d’Âprefange. J’avais laissé de côté depuis trop longtemps une mission pour Melor Sabot-de-Pierre qui voulait que je tue un crocillisque du nom de Mortebourbe. Je profitais donc de mon escale dans la région pour donner un coup de main.

Mon ami Fokett m’appelle alors et me dit qu’il est grand temps de faire ces missions qu’ils nous restent. Du même âge environ, nous espérions atteindre sous peu nos 48ème cercle.

Des missions, nous en avions à la pelle. Nous avons décidé de commencer par la vallée de Stangleronce. Un petit tour chez les boucaniers et une petite bataille contre des "Allys" nous ont mis en grande forme. Fokett me parle alors d’une bouteille trouvée sur la plage, je ne l’avais pas vu. Nous décidons de retourner au même endroit et ô miracle, une autre bouteille. La princesse Poobah, une tauren, nous demande de l’aider en tuant le roi Mukia qui la retient prisonnière.

Ce fut un sacré combat, ce grand singe était d’une force redoutable (tu m’étonnes, niveau 51 élite). Mais il est mort sous nos coups. Nous avons tué ce roi de pacotille et sauver la princesse. (pas de baiser de la princesse, faut pas abuser, je suis marié…)

En revenant à la nage, Fokett me parle alors d’un monstre du nom de Mok’Rash qui sévit au sortir de Baie-du-Butin. Pris d’une frénésie meurtrière (pitié Arlanya, c’est pour la bonne cause), nous avons décidé de l’exterminer. Je fus horrifié par la laideur de ce géant.

Mais c’est sans grande peine que nous sommmes venu à bout de cette absurdité qui jonche désormais sur cette petite île que l’on voit de la baie.

Strangleronce, c’est finit, du moins pour le moment, je suis sûr que dans un avenir proche nous y retournerons.. Mais où aller désormais ? Les Montagnes d’Alterac me dit mon compagnon. Mug’Thol me dit-il, et la couronne de volonté. Et de la volonté, nous en avons. Nous voilà partit à dos de Wyverne pour le Moulin-de-Tarren. Une petite course jusqu’à Alterac et nous voici déjà dans ce donjon où siège cet ogre « aux jolies poignées d’amour » pour ne pas citer quelqu’un.

Et un de plus de tuer. Et hop, nous voilà repartit, enflammant presque la neige de notre désir ardant.

Cette fois, direction les Hinterlands. La pause s’impose ! Déjeuner au village de Vengebroches et nous nous faisons inviter avec toute la délicatesse qui nous est connu.

A cet instant, je reçu l’appel d’un jeune démoniste que j’aide de temps à autres à se parfaire (oui, je sais, le pauvre, avec un maître comme moi, il est pas sorti de l’auberge.. Si, je sais que vous le pensiez.) Le jeune Karimo qui voulait tuer rapidement quelques Charognard dans les hautes Terres d’Arathi.

Peut être un peu trop rapidement d’ailleurs… Ah la jeunesse ! (quand je dis AFK, c’est AFK, nah)

Bref, je retrouve Fokett en Arathi qui, lui aussi, aidait un jeune démoniste. Et tandis que nous échangions tout deux des banalités. Au loin, le jeune démoniste se fait tuer. Quel malheur ! Vengeance ! (et voilà comment on devient, l’espace d’un instant un greykiller). Passons, là n’est pas l’important. Nous devons tuer des Vildebranche aux Hinterlands. Toujours dans cet état de frénésie intense, nous en oublions de mettre notre pierre. (Enfin oublié ? Désolé Fokett, mais çà m’a trop fait rire. – vous ferez donc attention à notre conversation en bas à gauche)

Mais Fokett a raison, tuer 80 élites seraient trop long, surtout en étant que deux. Nous aurons besoin d’un groupe. Et nous avons décidé d’aller en Tanaris. Moi, en passant par la capitale Shattrah, foyer nouvellement acquit. Je décidais, fourbe que je suis de temps à autres, de téléporter mon ami là bas. Et c’est sans grand mal que je réussis à convaincre deux voyageurs de se joindre à moi pour le rituel d’invocation. (sans grand mal = de grand SVP mes seigneurs et autres mots doux, je suis même allé jusqu’à les supplier.. une honte quoi !)

A cet instant précis, qui voyons nous apparaître ? Mais oui, c’est la belle Abby, dans sa tenue de bavaroise. Nous la réquisitionnons d’office. Adieu Tanaris, bonjour le Monastère. Pour ne plus perdre de temps, nous faisons appel au grand Hämras et un dénommé Darnuss nous rejoint également. Sous nos coups, Hériode le champion succombe rapidement ainsi que le maître chien.

Nous fonçons de l’autre côté du monastère afin d’éradiquer toute forme de vie. N’oublions pas qu’Arlanya veut y établir son fief. Nous devons au plutôt commencer à installer ces statues. Quelques rires, quelques vannes, une lanque étrangère qui sort de nos bouches (english quoi) nous sommes fous mais l’ambiance est bonne.

C’est au tour de l’inquisitrice de mourir. De toute façon, ils n’échapperont pas à leur destin.

Et nous tuons son champion, une première fois. Et là voila que revient Blanchetête l’inquisitrice.. et elle nous endort en plus la s… bougresse.

« A moi mon champion »… A mort son champion oui ! Ni une ni deux, les deux se retrouvent à terre, unit dans la saleté du sol. Mais nous laverons ma chère Arlanya, ne vous inquiétez pas.

Il est tard, Darnuss nous remercie et s’en va. Hämras et Fokett font de même. Avec Abby, nous demandons à Elyal de nous rejoindre. Cette dernière ne tarde pas d’ailleurs et c’est vers la bibliothèque que nous nous dirigeons pour le compendium. Très jolies ces deux voleuses non?

Malheureusement, épuisé par tous ces combats, nous mourrons lorsqu’un groupe (une meute oui !) nous tombe dessus. Les proies sont faciles à tuer me direz vous. Effectivement, mais ma réserve de pierre est nulle et je ne peux ponctionner l’âme de ces êtres si faibles.

C’est en Arathi que nous finirons cette soirée avec Elyal, Abby nous ayant quitté peu avant (et oui, le cybercafé fermait, vivement le retour de ton pc.). Ce sont des élémentaires, des raptors et la mort d’un voleur allié qui clôtureront ce mini marathon. Nous n’attendrons pas que le soleil se lève cette fois, nous sommes trop fatigué pour cela.

Merci à vous pour ces bons moments mes amis de La Communauté.

Debyzecwam Tal’Atoum

Humble démoniste.

Invité

Vos aventures, cher démoniste, me feraient presque regretter de ne pas être là, tellement j'aimerai les vivre à vos côtés.

Néanmoins, je me dois de prolonger mon absence, aussi continuez à me faire rêver par vos récits...

Et bien en voilà de biens belles aventures que vous nous contez mon cher démoniste ! C'est un vrai plaisir que de lire ces récits parsemés de belles images !

Que d'aventures mon beau champion !

Je regrette d'être arrivée si tard...

je crois que tout a été dit difficile d'en rajouter, sinon jolie boulot reporter mais évite de mettre trop en avant mes moments de solitude :p

Ha. Ha. Ha.

Je me gondolerai encore longtemps au souvenir de ce "chui trop bon je peux pas mourir".